Oyé !
OUI braves gens, vous ne rêvez pas ! les conteurs du Cercle des Bonimenteurs sont réapparus au NPA... pour une soirée riche en rebondissements.
D'abord, il y a eu l'arrivée sur le fil de la trotteuse des conteuses essoufflées, elles s'étaient perdues en chemin, agrippées par les artères tentaculaires de la ville : "c'était l'horreur, une angoisse profonde nous serrait à la gorge... jamais conteuses ne seraient à l'heure pour rejoindre conteurs en phase de stress post oratoire. Un cauchemar éveillé ! il nous semblait à travers la pluie glacée, vouloir sortir d'un puits sans fond alors que mille grapins s'accrochaient obstinément à nos semelles usées par l'errance"
Soudain, à l'arrière du manège de chevaux de bois attelé sur la place, il a surgi à la clarté du réverbère. Fier, tout de bois vêtu en vert : le Nulle Part Ailleurs où nous sommes arrivées ventres à terre !
En dedans, le public eut le temps de lier connaissance. Selon Fred, témoin de l'attente, dans la cour intérieure où elle devisait avec Eric, arriva Rémy avec un "Y" qu'il ne vous faut pas confondre avec Rémi avec un "I" ce dernier qui fidèlement nous retrouve à chacun de nos rendez-vous. Contemplant une bonbonne juchée sur le rebord d'une fenêtre, Eric venait d'apprendre à Fred qu'un fouletot domestique d'un geste maladroit avait pulvérisé SA bonbonne, celle décorant la salle d'eau de son logis. A ce moment surgirent deux jeunes couples car dans la cour intérieure se rassemblent les fumeurs.
RémY jusqu'à cet instant muet se présenta puis raconta d'un air tristounet la fin tragique du récipient qui ornait et décorait le muret.
Pour une histoire qui fini bien, sachez que dans son grenier, la grand-mère à Isabelle en a tellement des bonbonnes que cette bonne fée par la main de sa petite fille consolera Eric du bris de verre qui déjà commence à le combler de sept années de bonheur !
D'abord, il y a eu l'arrivée sur le fil de la trotteuse des conteuses essoufflées, elles s'étaient perdues en chemin, agrippées par les artères tentaculaires de la ville : "c'était l'horreur, une angoisse profonde nous serrait à la gorge... jamais conteuses ne seraient à l'heure pour rejoindre conteurs en phase de stress post oratoire. Un cauchemar éveillé ! il nous semblait à travers la pluie glacée, vouloir sortir d'un puits sans fond alors que mille grapins s'accrochaient obstinément à nos semelles usées par l'errance"
Soudain, à l'arrière du manège de chevaux de bois attelé sur la place, il a surgi à la clarté du réverbère. Fier, tout de bois vêtu en vert : le Nulle Part Ailleurs où nous sommes arrivées ventres à terre !
En dedans, le public eut le temps de lier connaissance. Selon Fred, témoin de l'attente, dans la cour intérieure où elle devisait avec Eric, arriva Rémy avec un "Y" qu'il ne vous faut pas confondre avec Rémi avec un "I" ce dernier qui fidèlement nous retrouve à chacun de nos rendez-vous. Contemplant une bonbonne juchée sur le rebord d'une fenêtre, Eric venait d'apprendre à Fred qu'un fouletot domestique d'un geste maladroit avait pulvérisé SA bonbonne, celle décorant la salle d'eau de son logis. A ce moment surgirent deux jeunes couples car dans la cour intérieure se rassemblent les fumeurs.
RémY jusqu'à cet instant muet se présenta puis raconta d'un air tristounet la fin tragique du récipient qui ornait et décorait le muret.
Pour une histoire qui fini bien, sachez que dans son grenier, la grand-mère à Isabelle en a tellement des bonbonnes que cette bonne fée par la main de sa petite fille consolera Eric du bris de verre qui déjà commence à le combler de sept années de bonheur !
ici et partout, leurs yeux surgissent par delà le feu de l'enfer car sans concertation et sans préambule, les conteurs présents avaient tous signé un pacte avec le Diable !
Claude, déjà présent en janvier, à ouvert la marche incandescente du Malin avec : "la ceinture verte"
Doris, s'est enflammée en contant : "la bête de la Schiffe"
Christian, emporté par un élan surnaturel avec un récit endiablé : "croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais en enfer"
Gling ! Gling !
la cloche a sonné pour la respiration avant que le sort désigne l'ordre de passage entre Fabienne et votre angélique chroniqueuse.
Je n'y ai vu que du feu ! et me voilà à déclamer : "Va au Diable !"
Fabienne, emboîte mes sabots pour majestueuse en fin de soirée, vous conter : "le marché du diable"
Christian, emporté par un élan surnaturel avec un récit endiablé : "croix de bois, croix de fer, si je mens, je vais en enfer"
Gling ! Gling !
la cloche a sonné pour la respiration avant que le sort désigne l'ordre de passage entre Fabienne et votre angélique chroniqueuse.
Je n'y ai vu que du feu ! et me voilà à déclamer : "Va au Diable !"
Fabienne, emboîte mes sabots pour majestueuse en fin de soirée, vous conter : "le marché du diable"
Filez à vos chimères, mais passées 25 lunes, le jeudi 23 avril en ce lieu d'autres histoires vous feront encore rêver...
Conteusement vôtre,
Lauzine
Lauzine